MYOPE
Exemple issu du livre de thibault fortuner : "L'être et les maux par les mots et les lettres" tome 1
Si nous ne prenons que les consonnes de ce mot, nous obtenons MP :
le M est un des transposés de la mère ;
le P est un des transposés du père.
Nous avons entre les deux un Y. Or le Y, en langue des oiseaux, nous parle de :
réunir en un point pour continuer le chemin ensemble ;
ou dans l’autre sens :
se séparer en deux routes différentes.
Ainsi, par la langue des oiseaux, myope peut parler d’un désir de réunir le père et la mère en un point et de les voir continuer ensemble ; un désir de voir se réconcilier le père et la mère.
On peut chercher des mémoires de stress lié à la séparation mère/père et par extension femme/homme : mémoires de divorce ou de séparation brutale entre un homme et une femme.
Par extension, le myope peut aussi parler de sa crainte de ne pas réussir à faire couple ou à conserver un couple.
Dans la myopie, on voit bien de près, nos yeux sont des loupes. Il faut donc se rapprocher pour bien voir quelque chose. C’est comme si nous voulions voir se rapprocher deux personnes que nous aimons ou que nous souhaitions, nous-mêmes, pouvoir nous rapprocher de la personne que nous aimons ou de quelque chose d’important.
Par la symbolique des lettres et la phonétique du mot
Quand on écoute le mot « myope », on peut entendre : « MI/O/P ».
Mi : moitié ;
O : mère ;
P : père.
« Je n’ai eu que des moitiés de parents. »
Cela peut renvoyer à la sensation qu’on n’a eu qu’un parent ; qu’un des parents n’a pas été présent ou qu’on ne les a eus qu’à mi-temps. Il serait intéressant de chercher à savoir si les enfants qui vivent mal la séparation des parents ne développent pas plus de myopie.
Cela peut aussi renvoyer à la notion qu’un des parents ou les deux n’ont été actif(s) que sur un versant, dans leur rôle de parent. Par exemple : « J’ai eu une mère mais pas une maman ; un père mais pas un papa. »
Si l’œil droit est plus touché, il s’agira, symboliquement, plus du père, d’un homme tandis que si c’est l’œil gauche, plus de la mère, d’une femme :
« J’aimerais être plus proche de ma mère ou d’une femme. »
« J’aimerais être plus proche de mon père ou d’un homme. »
Autre interprétation
Quand nous découpons ce mot, nous obtenons : Myo/P
Myo est un préfixe qui, en anatomie, renvoie aux muscles ;
le P, quant à lui, est une lettre qui peut renvoyer à la notion de parole.
Nous interprétons donc la première partie par la phonétique, myo, et la seconde par les lettres : le P.
Le muscle nous parle de la force et donc de notre puissance. La myopie peut ainsi cacher un sentiment d’impuissance à parler, à exprimer, à montrer.
Il peut y avoir chez le myope une peur de ne pas parvenir à exprimer, à montrer ce qu’il est. Par extension, nous pouvons aussi trouver une crainte de ne pas réussir à nous faire comprendre, à être vus comme nous sommes.
« Myope » peut également porter la puissance de la parole. Ainsi, le myope peut révéler :
une forme de mutisme, une difficulté à s’exprimer par crainte de ne pas être compris ;
ou à l’inverse :
une capacité à bien s’exprimer par crainte de ne pas être compris.